
nous voyons revivre auprès de Franz la berlinoise Felice Bauer, représentante de commerce, «la jeune fille qu’il n’a vue qu’un soir, une heure à peine, coiffée d’une capeline beige et blanc», avant de lui dédier – outre une centaine de lettres, télégrammes, messages – Le verdict, le seul récit qu’il jugera valable jusqu’à sa mort. L’a-t-il aimée, espérée ou imaginée, du fond de sa solitude, celle dont il dit au premier coup d’oeil «qu’elle est sans charme, sans attrait, décidée, pleine d’assurance, robuste ?»